Cheval Partage Team CP : présentation d’Hélène

Qui suis-je ?

Présentation rapide

Comme vous l’avez sûrement deviné, je m’appelle Hélène, j’ai 29 ans (pour encore quelques jours !). J’habite dans le Nord de la France.

Je suis quelqu’un de très curieux, j’aime apprendre de nouvelles choses, je me dis qu’on peut toujours aller plus loin. J’aime garder une certaine ouverture d’esprit afin de systématiquement me remettre en question. Tout ce que je sais, c’est que je ne sais rien !

Mon métier

Dans la vie, je suis assistante commerciale promotion dans la grande distribution. Je me doute que ça ne veut pas dire grand chose mais globalement, je réalise les tracts promotionnels pour mon enseigne. En binôme avec mon acheteur, nous négocions et mettons en place les promo que vous retrouvez dans vos magasins.

Mes autres passions et loisirs

A côté de l’équitation, j’ai également d’autres passions. Principalement l’écriture – ce qui fait que je suis toujours là aujourd’hui héhé – mais aussi la musique.

J’ai pratiqué le piano en voulant copier mon grand frère mais je n’étais pas très douée pour faire deux choses différentes en même temps. J’ai vite abandonné haha. Je me suis donc rabattue plus tard sur le violon pendant quelques années, imitant cette fois-ci mon papa et ma grand-mère.

Malheureusement entre mon travail et mon cheval, j’ai décidé depuis l’année dernière de mettre fin à ma pratique musicale. Etre absente tout le weekend pour des concerts, ne pas oser jouer après 21h pour ne pas déranger les voisins, ce n’était plus compatible.

Mon parcours équestre

A l’inverse de mes co-rédactrices, je suis ce qu’on peut appeler une cavalière sur le tard.

Mes débuts équestres

Aussi loin que je me souvienne, j’ai toujours aimé les animaux. Peu importe l’animal, j’étais en admiration. J’avais 7 ans lorsque j’ai vu un cheval pour la première fois, lors du mariage de mon oncle. La soeur de sa femme vivait dans un ancien relais de chasse avec 16 hectares de pâture (moi aussi je veux son terrain !). Cette femme et son mari étaient cavaliers et possédaient plusieurs chevaux. Pour la première fois, j’ai pu m’approcher de ce magnifique animal et ensuite je n’avais plus qu’une envie, faire de l’équitation.

Mais ce fut un non catégorique de la part de mes parents. C’était trop cher, j’allais me faire mal, c’était qu’une lubie passagère. J’ai attendu 7 ans avant de pouvoir prendre mon premier cours d’équitation, j’avais donc 14 ans.

Après 7 ans de centre équestre, j’ai décidé de prendre une demi pension sur un cheval de propriétaire dans une écurie. Ce fut malheureusement une mauvaise expérience qui a entrainé un arrêt de l’équitation pendant 1 an. Puis, j’ai rencontré celui dont je vais vous parler :

Mexico et moi : notre rencontre

Je cherchais à remettre le pied à l’étrier, car l’équitation me manquait trop. C’est là que j’ai rencontré Mexico, un cheval cob normand de 13 ans. Je n’étais pas emballée par le fait que ça soit un cheval de trait – ma précédente DP était aussi un cheval de trait. Mais il a su me montrer que chaque cheval est différent, indépendamment de sa race.

Comme toute relation nouvelle, il a fallu que nous apprenions à nous connaitre. Mais son calme à toute épreuve, sa bonne volonté et sa douceur m’ont fait oublier tous les petits défauts qu’il pouvait avoir. En moins d’un an, j’étais déjà totalement folle de ce cheval à l’oeil rassurant.

Après 2 ans de demi-pension, le propriétaire m’annonce qu’il souhaite vendre Mexico, il a d’autres projets avec des jeunes chevaux. Il m’a laissée jusqu’à la fin de la semaine pour me décider.

Ma décision a été prise le soir-même : je ne pouvais pas le laisser partir.

Par simplicité, je suis restée dans la même écurie. Mexico étant mon premier cheval, j’étais dans un lieu rassurant pour me lancer dans cette aventure.

Je suis restée trois ans dans cette écurie avant d’avoir une autre vision de l’équitation. L’été, Mexico vivait au pré. Mais l’hiver… c’était box H24. Je ne pouvais plus à le voir dans ce box, je le voyais déprimer. Et avec l’âge, Mexico a développé de l’arthrose. Ses conditions de vie n’étaient pas adaptées.

J’ai donc pris la décision de partir de cette écurie. J’ai réussi à trouver un endroit où il serait au pré l’été, et pourrait bénéficier de sorties au paddock tous les jours durant l’hiver.

Mexico et moi : aujourd’hui

Cela fait désormais 2 ans que nous sommes dans cette nouvelle pension. Mexico n’a jamais été aussi bien dans ses sabots.

Au printemps dernier, j’ai décidé de le faire passer pieds nus. Il n’a jamais aimé le travail en carrière et avec son âge (21 ans il y a quelques jours), je n’ai en réalité plus l’envie non plus de le faire travailler.

C’est une décision que j’ai prise l’année dernière après le premier déconfinement. Je me concentre aujourd’hui sur 3 choses :

• le travail à pied pour créer de la nouveauté et perfectionner notre relation
• de la longe dans le manège pour entretenir la musculature et l’activité physique (important pour l’arthrose !)
• de la balade pour le physique, pour le moral et parce qu’il est temps qu’on prenne notre temps

Je pensais que l’équitation classique, et notamment le saut d’obstacles, me manquerait. Mais en réalité, absolument pas. J’ai l’impression d’avoir choisi ce virage à 180°, parce que c’est pour lui. Pour que lui se sente bien, parce qu’il m’a donné pendant des années. À moi de le lui rendre en levant le pied, en allant à son rythme.

Cheval Partage et moi

J’ai rejoins l’équipe de Cheval Partage en mars 2015. Je fête donc mes 6 ans de rédaction chez CP !

Ayant fait des études de communication et notamment de rédaction web, j’ai toujours voulu avoir un blog. L’équitation étant ma passion, c’était le sujet tout trouvé. Mais en 2015, il y avait déjà des blogs à foison, et je me demandais si un autre blog sur la toile était réellement intéressant. Mais aussi, aurais-je le temps et l’énergie pour le faire vivre correctement ?

C’est là que j’ai découvert Cheval Partage et sa recherche de rédacteurs. Je me suis plongée dans plusieurs articles afin de connaitre la vision de Kawelo. Il n’a pas fallu longtemps avant que je lui propose un article, mon premier article.

Je n’ai pas de préférence en termes d’écriture. J’écris selon mon inspiration du moment, selon mes recherches et ma capacité à bien comprendre et retranscrire un sujet. Je reste quelqu’un de curieux, qui aime toujours apprendre et partager ses trouvailles.